GN: séminaire sur « l’apport de l’anthropologie criminelle à l’instruction judiciaire »

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ALGER – Le Commandement de la Gendarmerie nationale a organisé un séminaire sur « l’apport de l’anthropologie criminelle à l’instruction judiciaire » à l’Institut national de criminalistique et de criminologie (INCC) de Bouchaoui (Alger), visant à établir une plateforme interactive pour unifier les pratiques scientifiques et échanger les expertises entre les différents acteurs et intervenants dans le domaine de l’anthropologie en Algérie, a indiqué mercredi un communiqué du Commandement de la GN.

Le séminaire dont l’ouverture a été présidée mardi par le Commandant de la GN a pour objectif de « renforcer l’ouverture de l’INCC sur le milieu universitaire et la recherche scientifique et de rentabiliser ses efforts, vu son rôle pionnier dans le domaine de l’anthropologie criminelle en Algérie ».

Il tend, en outre, à établir « une plateforme interactive pour unifier les pratiques scientifiques et échanger les expertises entre les différents acteurs et intervenants dans le domaine de l’anthropologie en Algérie », a précisé la même source, ajoutant que cette démarche est à même de contribuer au « développement de cette spécialité qui a pour mission de répondre aux questionnements des juridictions à travers l’ostéologie et l’odontologie légale permettant de déterminer le sexe et l’âge ».

Ces rencontres scientifiques font ressentir « le haut niveau de professionnalisme de la Gendarmerie nationale, qui a opté pour la modernité en tant que choix stratégique national adopté par le haut commandement de l’Armée nationale populaire (ANP) pour être au diapason des évolutions mondiales ».

Ont participé au séminaire, nombre de professeurs universitaires spécialisés en anthropologie criminelle, des officiers et des cadres du ministère de la Défense nationale, des représentants des ministères de l’Intérieur, de la Justice, de l’Enseignement supérieur, de la Culture, des Moudjahidine, des Travaux publics, de l’Agriculture et de la Santé, ainsi que des représentants de la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN), de la Protection civile et des associations nationales activant dans le domaine.

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