Journée internationale de la paix : plusieurs initiatives menées par l’Algérie pour consacrer les idéaux de la paix

ALGER- Le Conseil national des droits de l’homme (CNDH) a affirmé, mercredi à l’occasion de la célébration de la Journée internationale de la paix, que l’Algérie avait à son actif plusieurs initiatives dans ce sens, notamment  la Proclamation du 1er Novembre 1954, qui traduit la volonté du peuple algérien, épris de paix.

Partant du principe que la paix est un processus positif, dynamique et participatif qui favorise le dialogue et la résolution des conflits dans un esprit d’entente et de coopération, l’Algérie compte à son actif plusieurs initiatives dans ce sens, la première étant la Proclamation du 1er novembre 1954, qui traduit la volonté du peuple algérien, épris de paix, précise un communiqué du CNDH.

C’est dans ce contexte, qu’interviennent « les initiatives du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, soucieux d’unifier les rangs des pays africains, à travers la démarche de l’Algérie visant à promouvoir la solidarité africaine et l’idée de la paix et du développement durable en Afrique ».

Le président de la République a mis en avant, à maintes reprises, « l’impératif d’oeuvrer à unifier les rangs des pays arabes, un des objectifs majeurs fixés pour les travaux du Sommet arabe, prévu à Alger les 1 et 2 novembre prochains ».

Figure parmi les orientations, l’initiative de rassemblement du Président Tebboune, à même de « former un front interne solide pour que tout le monde sache qu’à l’Algérie nouvelle, il n’est point de place à la marginalisation, ni à l’exclusion », lit-on dans le communiqué du Conseil.

Au niveau onusien, le communiqué rappelle qu’en 2001, l’Assemblée Générale de l’ONU a voté à l’unanimité en faveur de l’institution de ce jour comme Journée de non violence, invitant tous les pays à intensifier les activités d’information et de sensibilisation aux sujets relatifs à la paix.

En réponse à cet appel, le plan de développement durable de 2030 adopté par l’ONU en 2015, poursuit la même source, a affirmé « qu’on ne peut avoir un développement durable sans paix, ni de paix sans développement durable ».

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